Selon Lynn Margulis, microbiologiste américaine : « La théorie de Gaïa nous oblige à penser comme une globalité les interactions entre les hommes, les végétaux, les animaux et la vie bactérienne. »
La terre serait-elle capable de régler, par exemple, certains problèmes d’ajustement que les hommes ne sont pas près d’affronter eux-mêmes ?
Considéré comme le père de l’hypothèse Gaïa, James Lovelock, quant à lui, observe que dans l’histoire de Gaïa, aucun être vivant n’a longtemps dépassé les limites de sa niche écologique sans qu’un prédateur apparaisse et rétablisse l’équilibre.
Alors, à quel prédateur faut-il s’attendre ?