Où se cache la perfection ?

Un maître zen demanda à son disciple de nettoyer le jardin du monastère.

Le disciple nettoya le jardin et le laissa dans un état impeccable.

Le maître ne fut pas satisfait.

Il lui fit refaire le nettoyage une deuxième, puis une troisième fois.

Découragé, le pauvre disciple se plaignit :

“Mais maître, il n’y a rien de plus à ordonner, à nettoyer dans ce jardin! Tout est fait!

“Il manque une chose”, répondit le maître.

Il secoua un arbre et quelques feuilles se détachèrent, jonchant le sol.

“A présent, le jardin est parfait” conclut-il.

TOUT-EST-SOUS-CONTRÔLE

« La maman des arbres »

« A ce jour, je reste persuadée que l’option qui consiste à faire confiance à son prochain et à adopter une attitude positive à l’égard de la vie et de ses semblables est la plus saine qui soit, non seulement pour parvenir à une certaine sérénité, mais aussi pour faire bouger les choses. »
Wangari Maathai

Avant d'avoir un nom

Wangari Muta Maathai, née Wangari Muta le 1ᵉʳ avril 1940 à Ihithe et morte le 25 septembre 2011 à Nairobi, est une biologiste, professeur d’anatomie en médecine vétérinaire et militante politique et écologiste.

Places exist for times like this

Places exist
For times like this
I never need them
I never need them
Places out there
There »s magic everywhere
I never need them
I never need them
For if, just when I notice it
And it seemed, just ignore it
Farther out, just when we need this
And it seems, is this just me
For if, just when I notice it
And it seemed, just ignore it
Farther out, just when we need this
And it seems, is this just me
I never need them
I never need them
For if just when I notice it
And it seemed, just ignore it
Farther out, just when we need this
And it seems, is this just me
For if, just when I notice it
And it seemed, just ignore it
Farther out, just when we need this
And it seems, is this just me
Is this just me
Is this just me

Au Revoir Simone – Tell Me Clock

Par quel chemin s’en est-il allé, le brigand ? 

« Le soleil est un voleur : par sa puissante attraction, il dépouille la vaste mer. La lune est une voleuse effrontée : elle soustrait sa pâle lumière au soleil. L’océan est un voleur : sa vague résout en larmes amères les émanations de la lune. La terre est une voleuse qui se nourrit et s’alimente du compost furtif de tous les excréments. Tout vole. Les lois, qui vous réfrènent et vous flagellent, dans leur rude toute-puissance exercent un brigandage impuni. Ne vous aimez pas les uns les autres ; allez ! volez-vous réciproquement. »
William Shakespeare

LES DEUX ARCHES OPPOSÉES